1. Il entre dans le cadre d’une diversification nécessaire de ses actifs patrimoniaux en ces temps de marchés financiers agités. Que la rentabilité globale soit en baisse (avec l’alourdissement de la fiscalité sur les plus-values et des rendements locatifs en berne) est, certes, regrettable, mais une allocation d’actifs diversifiée représente, à elle seule, une sécurité appréciable, à qui on ne demande pas la lune en termes de rendement…
2. Il offre encore des possibilités de réduire sa note fiscale. Le dispositif Duflot, les possibilités d’être exonéré de TVA ou de réduire son impôt grâce à un déficit foncier… Des possibilités existent pour booster la rentabilité globale de son placement, grâce à un impôt moindre.
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3. Il peut être réalisé à crédit. Ce qui n’est pas le cas, sauf exception, d’autres actifs, financiers notamment. Même si son rendement apparaît parfois moins intéressant que d’autres produits, l’immobilier à crédit présente l’avantage d’être une « épargne forcée ». On oublie rarement de régler la mensualité de remboursement ; En revanche, on suspend, quelquefois, une économie, même programmée…
4. Il est un outil de prévoyance familial. A tout crédit immobilier est attachée une assurance décès-invalidité. Celle-ci joue un rôle important de protection de la famille en cas de décès de l’un des emprunteurs.
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Patrick Chappey – © 2013 Gererseul.com
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